J'ai beaucoup pleuré d'abord, et d'ailleurs je pleure encore un peu. Puis j'ai fait un détour par la principauté histoire de me changer les idées. Puis j'ai mangé des coeurs (de volailles, probablement avariés, qui sait), pour me donner du coeur à l'ouvrage. Je vais pleurer un peu encore. Et puis je vais travailler. Et ensuite, on verra. Peut-être que je prendrai mon téléphone, pour raconter. Ou qu'on m'appellera. Peut-être aussi que j'arriverai à arrêter de pleurer. Peut-être pas. La vie est con, parfois. Comme le bonheur. Le bonheur, c'est tout con, mais parfois ça fait mal au coeur. Je sais pas. Je sais plus.