Aujourd’hui ébaudi (Mis en allégresse)
Ce printemps qui ne vient pas, ou plutôt cet hiver qui s'attarde, fait qu'il est devenu rare de voir déambuler dans les rues et se promener sur les routes ceux que les locaux appellent les "waldscheisser" (pas sûre de l'orthographe), ou les gens qui ch**** dans la forêt. En gros les citadins venus chercher dans le vert du Taunus la dose de chlorophylle qui leur manque au pied de leurs tours grises et qui, ébaubis, se baladent sur les chemins en regardant le ciel qui leur paraît immense.
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